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TRÈS BONNE NOUVELLE : VANGUARD GROUP rejoint les complotistes et quitte l'initiative  NZAM (Net Zero  Assets  Management) si chère à JANCOVICI

publié par Les Echos :

Décryptage

Le deuxième gestionnaire d'actifs mondial quitte l'Alliance pour le climat 

Vanguard justifie son départ de la coalition financière climatique par un souci de « clarté » vis-à-vis de ses clients. Aux Etats-Unis, la pression des républicains à l'encontre de l'engagement ESG des sociétés de gestion n'a jamais été aussi vive.

Lien vers le site de VANGUARD

https://corporate.vanguard.com/content/corporatesite/us/en/corp/articles/update-on-nzam-engagement.htm

 

PROBLÈME : JANCOVICI A-T-IL ÉTÉ PARJURE LORS DE SON AUDITION À L'ASSEMBLÉE NATIONALE ?

Avoir l'honneur d'être invité à s'exprimer devant l'Assemblée Nationale, suppose, à tout le moins de s'en montrer digne et ceci d'autant plus lorsque l'on a bénéficié d'un enseignement d'élite, non seulement gratuitement mais en plus en ayant été payé par la République lors de ses études dans les grandes écoles. Que dire de quelqu'un qui arrive les mains dans les poches et ressert la tarte à la crème réchauffée du calcul du nombre de personnes qu'il faut avoir à sa disposition pour bénéficier de la même puissance instantanée que celle que vous avez souscrite chez votre fournisseur d'électricité. En supposant que sur 8 h, un homme peut délivrer en continu 80 watts, pour produire les 6 000 watts d'une installation domestique moyenne, il faut : 6000 / 80 soit 75 personnes pendant les heures de service.   Ce calcul « complexe » me semble, même encore aujourd'hui faisable dès l'école primaire. Ah monsieur Jourdain fait de la prose et gageons qu'il acceptera, lui aussi de venir en témoigner devant l'Assemblée Nationale ! Pour délivrer des informations d'une telle importance, nul intérêt à être polytechnicien ni même de jurer avant de parler. Le retour sur investissement pour la Nation est dans ce cas particulièrement dérisoire.

Les choses se compliquent lorsque Jancovici parle d'agriculture, domaine qu'il étrille tout particulièrement comme tous les hommes de Davos mais domaine qui est loin de ses bases arrières et qu'il ne s'est pas donné la peine d'étudier, tout occupé à le démolir pour que nous ayons le plus vite possible la joie de manger de la viande artificielle 100% végétale (celle qui est déjà distribuée au forceps dans les cantines pour habituer les futurs adultes à rémunérer les brevets de fabrication de ces aliments qui finissent dans les poubelles. À qui appartiennent les brevets de fabrication de ces aliments ? Question ! )

La phrase qu'il a prononcé vers 13 -14 mn, sous serment et qui pose problème en ce domaine est la suivante :

 Par ailleurs, dans ce genre de cas de figure, nous savons très mal tenir compte des effets dominos ou des effets de transfert. Aujourd’hui, le colza que nous faisons pousser en France pour fabriquer des agrocarburants est considéré comme de la biomasse neutre en carbone. Or, plutôt que de faire pousser ce colza, nous pourrions très bien diminuer la taille des voitures et faire pousser du soja et de la luzerne, ce qui éviterait des importations du Brésil et de la déforestation. Ainsi, je peux considérer que le colza empêche, par effet d’éviction, d’introduire en France des cultures qui engendreront de la déforestation. Dois-je considérer que ce colza est neutre en carbone ? De nombreuses questions de méthodes sont très compliquées concernant la biomasse et, actuellement, la terre est en déforestation à l’échelle planétaire. Nous pouvons penser que chaque culture énergétique est, en tant que culture marginale, responsable d’une partie de la déforestation que nous pourrions éviter sans cette culture.

 

 

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